Luc Alphand

Luc Alphand
Chaussures CAP-K

mardi 15 juin 2010

BIO & BIEN-ETRE


Retrouver les chaussures de ville amorties sur le site de "BIO & BIEN-ETRE".

Solutions aux douleurs articulaires, tendinites, mal de dos, ...

mercredi 26 mai 2010

MAL DE DOS - Dorsalgie



Récemment, 35 % des Français déclaraient avoir souffert d’une lombalgie au cours des douze derniers mois. "Tour de reins" ou "reins en compote", les causes peuvent être nombreuses, d’où l’importance d’un très bon diagnostic. Détaillons les origines des maux de la partie basse du dos.
Le scénario est malheureusement trop classique : vous vous penchez pour lacer vos chaussures, une décharge électrique vous parcourt la jambe. Votre dos vient tout simplement de se rappeler à vous en vous faisant payer la facture des nombreuses années de négligences et d’efforts inconsidérés.
Les névralgies d’origine lombaire : du lumbago à la hernie discale
Lorsque vous souffrez d’une névralgie d’origine lombaire, c’est souvent que le noyau du disque vertébral – ou un fragment de celui-ci – vient d’être expulsé de l’anneau fibreux. Cette action libère des enzymes (notamment la phospholipase A2) au très fort pouvoir inflammatoire. La douleur serait donc, avant tout, la conséquence de l’inflammation de la racine nerveuse par ces enzymes.
Toute compression du nerf irrité entretient le phénomène.
Si la hernie se situe dans la partie postérieure du disque, elle peut se trouver au contact du nerf rachidien. C’est alors la décharge électrique par irritation et compression du nerf, et la douleur peut se propager tout au long de ce nerf. Selon l’étage vertébral de la racine nerveuse, il peut s’agir d’une sciatique (nerf sciatique qui innerve la partie postérieure de la cuisse et de la jambe) ou d’une cruralgie (nerf crural qui innerve la partie antérieure de la cuisse).
Le lumbago ou le "tour de reins"
L’histoire du lumbago est toujours la même, à quelques variantes près. C’est la mésaventure de celui qui arrive au guichet pour payer sa place de cinéma. Il fait tomber son porte-monnaie, se penche pour le ramasser et se relève brutalement. Résultat : il n’a jamais vu le film. Ou c’est l’histoire du voisin qui a voulu jouer les Hercule en soulevant un sac de ciment de trop. Le voilà plié en avant dans l’impossibilité de se relever, grimaçant de douleur au moindre mouvement. Que s’est-il passé ? Il s’agit tout simplement d’un début de lumbago dont la première manifestation est une détérioration discale. Cette détérioration discale se produit la plupart du temps lorsqu’on soulève un objet lourd. Nous sommes alors pliés en deux, les jambes raides, les fesses en l’air. Le noyau discal est immédiatement compressé par plusieurs centaines de kilos, puis violemment repoussé en arrière lors de l’effort de soulèvement. C’est à cet instant précis que dans son déplacement le noyau discal déchire plusieurs épaisseurs de l’anneau fibreux. La douleur est alors provoquée par l’irritation des fibres du nerf sinu vertébral qui innerve la périphérie du disque. La douleur provoque une réaction de défense, d’où la douloureuse contraction les muscles lombaires.
Les lombalgies d’origine articulaires postérieures
Rappelons que les vertèbres s’articulent entre elles par l’intermédiaire du disque intervertébral et de deux articulations.
Dans tous les mouvements, ces articulations jouent le rôle de guide, les contraintes mécaniques étant supportées, pour l’essentiel, à l’étage lombaire par le disque intervertébral (80 % des charges).

Les lombalgies dues à ces articulations postérieures correspondent à une surcharge ou une pression prolongée consécutive à une mauvaise position. Elles peuvent apparaître chez les enfants et les adolescents par une accentuation de la lordose lombaire, surtout chez les jeunes filles, ou lors de surmenages sportifs.
Chez les personnes âgées, l’absence d’alternance de compression et de décompression du disque intervertébral altère rapidement la surface cartilagineuse de l’articulation et c’est alors le début de l’arthrose. La surcharge provient souvent d’un excès de poids, mais aussi d’une discarthrose (vieillissement du disque). Dès lors, le disque ne jouant plus son rôle, le poids du corps est alors supporté par les articulations postérieures. C’est alors que des réactions inflammatoires douloureuses peuvent résulter de l’hyperactivité imposée aux articulations et qui en provoque l’irritation.
Article paru dans Doctissimo - Carole Clément

Mal de dos - L'essentiel sur la hernie discale


Le "mal du siècle", une expression commune pour désigner le mal de dos. La hernie discale en est l'une des causes. Cette affection des disques intervertébraux se caractérise le plus souvent par une lombalgie ou une sciatique.
Souvent à l'origine de douleurs lombaires, accompagnées ou non de sciatique, la hernie discale serait responsable de 2 % des maux de dos. Le coupable : un disque intervertébral fissuré. Le point sur cette affection, des symptômes aux traitements.
Une déformation du disque intervertébral en cause
La hernie discale est une maladie liée au déplacement d'un des disques intervertébraux. Notre colonne vertébrale est constituée de 24 vertèbres dont 7 cervicales, 12 dorsales et 5 lombaires. Entre chacune d'entre elles : un disque intervertébral, sorte de coussin amortisseur. Ce disque est composé de deux éléments : un noyau central (nucleus) entouré d'un anneau fibreux (annulus) qui attache les deux vertèbres l'une à l'autre.
Si l'anneau se fissure, la substance du noyau fait saillie à l'extérieur de la colonne vertébrale. C'est ce qu'on appelle une hernie discale. Ce débordement du disque intervertébral peut alors provoquer la compression d'une racine nerveuse ou de la moelle épinière. La hernie discale concerne plus fréquemment les hommes que les femmes. Elle survient généralement entre 35 et 55 ans suite au surmenage, au soulèvement d'une charge lourde ou encore après une torsion brusque du tronc. La grossesse et le surpoids sont aussi des facteurs de risque. Des prédispositions génétiques sont souvent à l'origine des cas précoces, dès l'âge de 20 ans.
Hernie : des symptômes au diagnostic
Les manifestations de la hernie discale sont très variables d'un patient à l'autre. Parfois asymptomatique, elle se caractérise le plus souvent par des douleurs aiguës. Celles-ci sont souvent concentrées dans le bas du dos, car 95 % des hernies discales sont situées au niveau des vertèbres lombaires. Les symptômes classiques sont donc un mal de dos ou lombalgie. La colonne vertébrale est alors très douloureuse.
Si le disque comprime la racine nerveuse, on parle de névralgie sciatique. Notons que 85 % des sciatiques résultent d'une hernie discale. Les douleurs s'étendent alors à la fesse, la cuisse et la jambe, avec une sensation de fourmillement et parfois une paralysie. Dans les cas plus sévères, c'est la moelle épinière qui est touchée, provoquant ainsi une paralysie des membres ou des sphincters anal et urinaire. Il faut dans ce cas consulter un médecin de toute urgence.

Quel que soit le traitement choisi, il est souvent accompagné de séances de rééducation chez le kinésithérapeute. Ce, afin d'éviter les récidives et permettre d'assouplir et de muscler le dos.
La hernie discale disparaît d'elle même dans 50 % des cas et les traitements non-chirurgicaux permettent la guérison dans 80 % des cas. Mais la meilleure solution reste la prévention, prenez donc soin de votre dos et préférez les sports non traumatiques tel que la marche rapide, le cyclisme et la natation.

Article paru sur Doctissimo.

lundi 24 mai 2010

MAL de DOS au Travail: quelles solutions ?

Mauvaises postures, gestes inadaptés…
De nombreuses personnes souffrent du dos au travail. Ces maux de dos, dont certains relèvent des fameux troubles musculo-squelettiques, sont toujours aggravés par le stress. Un facteur que les entreprises commencent tout juste à prendre en compte.

1 Troubles musculo-squelettiques, la première cause de maladie professionnelle en France

Les troubles musculo-squelettiques (TMS) représentent, de loin, la première cause de maladie professionnelle en France. Ces affections articulaires, tendinites et autres lombalgies ont concerné près de 37.000 personnes en 2008. Et encore, ce chiffre ne prend pas en compte les dorsalgies et les cervicalgies qui ne sont pas reconnues comme maladies professionnelles.

Le stress en cause
La plupart de ces TMS sont liés à de mauvaises postures ou des gestes inadaptés. Et ils sont toujours aggravés par le stress. « Trois éléments sont systématiquement retrouvés dans toutes les pathologies que recouvrent ces troubles : l’intensification du travail avec un manque de temps de récupération, une pression de plus en plus forte, enfin un manque de soutien de la hiérarchie et des collègues », constate le Pr Alain Chamoux, chef du service santé, travail et environnement au CHU de Clermont-Ferrand. Certaines entreprises, confrontées à des arrêts de travail à répétition, commencent à prendre en compte ce facteur stress.

2 Réorganiser le travail et soulager le stress

« Dans une entreprise de manutention où les salariés souffrent beaucoup de lombalgies, on aura beau mettre les palettes à la bonne hauteur, si on ne règle pas les problèmes de stress générés par les pannes incessantes de la machine, cela ne servira à rien », souligne Evelyne Escriva, chargée de mission à l’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (Anact).

Des programmes de renforcement musculaire en entreprise
On commence, d’ailleurs, à envisager des programmes de renforcement musculaire en entreprise. « Depuis deux ans, nous travaillons avec des Canadiens pour adapter en France leur programme de prévention du handicap Previcap, explique ainsi le Dr Michel Morel-Fatio, chef de l’unité d’évaluation et de réadaptation de la douleur du centre de Coubert (77). Il s’agit de repérer dans des entreprises, partenaires de centres de rééducation, les personnes susceptibles de s’arrêter à cause de leur dos et de les coacher. L’entreprise serait gagnante financièrement puisqu’on pourrait éviter des arrêts de travail. Nous pensons démarrer courant 2010. »

3 Trois questions au Dr Bernard Salengro, médecin du travail et secrétaire national du syndicat de cadres CFE-CGC

Vous sondez deux fois par an les cadres sur leur niveau de stress. Quels enseignements en tirez-vous ?
Notre baromètre stress montre des niveaux assez élevés et stables dans le temps. Le facteur stress est bien installé depuis quelques années, ce qui montre l’importance et la constance du phénomène. Pour moi, c’est un problème de santé publique numéro un.

Vous posez toujours une question sur le mal de dos, pourquoi ?
Dans le baromètre de mars 2009, 47% des cadres disent avoir mal au dos et 69% se disent tendus ou crispés, à cause de leur travail. Pourtant, ils ne portent pas de sacs de ciment ! Ces douleurs s’expliquent par des tensions au travail.

Pour vous, le lien entre stress et mal de dos est évident ?
Les gens en parlent fréquemment en consultation. Une ambiance de travail stressante majore les maux de dos, surtout chez des personnes qui sont assises toute la journée devant un écran et qui présentent une insuffisance musculaire.

Article paru dans http://www.tendance-sante.fr/maladies-medicaments/article/detail/mal-de-dos-au-travail-quelles-solutions/
par Sylvie Dellus

dimanche 23 mai 2010

TRAITEMENTS DU MAL AU DOS

CE QU’IL FAUT FAIRE
D’ABORD, LE REPOS… C’est toujours la première chose à faire en phase aiguë, allongé confortablement, dans un endroit calme reposera la colonne et détendra le lombalgique !!!! La position allongée, seule, relâchera les muscles, très souvent en cause, quelle que soit la localisation de la douleur, et dont la contracture permanente entretien la douleur. Ce relâchement musculaire libérera ensuite le disque (si ce dernier est en cause) de la pression exercée sur lui, mais plus encore, la position allongée limite la charge imposée par la pesanteur.
La position allongée confortable libérera les articulations intervertébrales postérieures des charges d’écrasement, et détendra les ligaments sous tension excessive. Ce repos est à prolonger tant que la phase hyper algique ne sera pas passée. Ce repos horizontal est indispensable, quotidiennement, à toute colonne qui doit récupérer d’une journée de vie verticale.
… PUIS, UNE REPRISE PRECOCE DE L’ACTIVITE !
Car si le repos calme une douleur à court terme, il l’aggravera toujours à long terme, surtout si la passivité ou l’inactivité s’installe.
Il convient de reprendre son activité rapidement :
o en respectant les règles de protection et d’hygiène vertébrale indispensable,
o en maintenant toujours le segment vertébral douloureux au repos,
o en privilégiant la bonne qualité du geste et la posture adéquate.
Exemple : en cas de sciatique, la position acceptable sera d’être debout ou allongée, la mauvaise position sera d’être assis sur un siège trop bas et mal réglé, le pire serait de rester allongé trop longtemps. Cette démarche aura pour effet d’inhiber l’activité proprioceptive lombaire et d’affaiblir considérablement les muscles lombaires devenus trop inactifs.
...
L’ostéopathie est une méthode qui s’emploie à déterminer et à traiter les restrictions de mobilité affectant les structures composant le corps humain.
Selon son principe : toute perte de mobilité des articulations, des muscles, des ligaments ou des viscères peut provoquer un déséquilibre de l’état de santé.
L’ostéopathe exerce en s’appuyant sur une connaissance approfondie de l’anatomie et de la physiologie. Il considère l’individu dans son ensemble.
Le praticien n’utilise que ses mains ; il perçoit les tensions et déséquilibres grâce à la palpation précise, minutieuse, exacte, qui est le fondement même de l’ostéopathie. Grâce à cette qualité d’écoute, l’ostéopathie est une thérapie préventive et curative. Par la pratique quotidienne du toucher, par le sens tactile acquis, par l’expérience au service du geste pur et noble, le masseur kinésithérapeute est devenu tout naturellement un ostéopathe confirmé.
L’ACTIVITE PHYSIQUE : afin de réduire les risques pour notre dos, il est important de
garder les articulations souples et les muscles abdominaux et dorsaux en bonne forme.
Ceci demande un exercice régulier. Si tous les exercices ne sont pas bons pour les
lombalgiques, il ne faut surtout pas se surprotéger en refusant toute activité physique, dont les résultats seraient peut être pires.
ET BIEN SUR... LA PREVENTION
Prévention primaire : avant la douleur
Prévention secondaire : quand on a eu mal
Prévention tertiaire : quand on a encore mal

Soulager la douleur du dos reviendra donc à soulager :
o la vertèbre surchargée,
o le ligament étiré,
o le muscle fatigué,
o le disque malmené,
o l’articulation vertébrale postérieure écrasée, ou
o le nerf pincé.

Reprise de l'article paru dans http://www.dosmajeur.com/doc/traitements_mal_dos.pdf

PREVENIR LES DOULEURS LOMBAIRES


Les douleurs lombaires proviennent le plus souvent de l’usure des disques intervertébraux. Cette usure vient progressivement avec le temps. Les facteurs aggravants sont les activités physiques intenses (manutention) ou certains sports surtout de haut niveau. Cette usure se concentre principalement dans les parties courbes de notre colonne vertébrale. Les efforts appliqués sur les vertèbres et les disques sont à l’origine des douleurs et cela d’autant plus lorsque ces efforts sont dynamiques (à-coups, chocs, vibrations, …). C’est le cas avec les vibrations des engins de chantier (marteau piqueur, …), mais aussi avec les ondes de chocs qui remontent dans l’organisme lorsque nous marchons sur sol dur.
Pour vos déplacements courants privilégiez des chaussures de ville amorties.
En dehors des activités sportives, évitez les chaussures de sport qui n’ont pas la stabilité nécessaire à un bon maintien de l’organisme et qui génèrent des tensions musculaires douloureuses en cas d’usage intensif.

vendredi 21 mai 2010

CHAUSSURES AMORTIES CAP-K


Pour ceux qui souhaiteraient lire des commentaires de propriétaires de chaussures CAP-K équipée de la technologie SPDF, vous pouvez aller sur le site "Tinkuy, la communauté qui vous aide à devenir plus responsable !" avec le lien;
http://www.tinkuy.fr/produit_eco_responsable/3944?info=Chaussures_en_situation

vendredi 14 mai 2010

Mauvais choix de chaussures aujourd'hui, douleurs aux pieds dans quelques années.



Le fait que les femmes d'âge mûr sont plus sujettes à des douleurs aux pieds est probablement dû à de mauvais choix de chaussures dans leur jeunesse. En cause, principalement les tongs et les chaussures à hauts talons.

Des douleurs aux pieds ... à l'âge mûr.
... L'étude révèle que 19% des hommes et 29% des femmes souffrent de maux de pieds chroniques. Elle a aussi montré que les femmes qui ont porté dans le passé de bonnes chaussures solides avaient 67% de risques en moins d'avoir plus tard des pieds douloureux.
... Qu'est-ce qu'une bonne chaussure? C'est une chaussure qui vous permet d'être bien stable sur vos deux pieds, avec suffisamment d'espace au bout des orteils de façon à empêcher tout frottement.
Lire l'article de e-santé.

mercredi 12 mai 2010

LES CHAUSSURES QU'IL VOUS FAUT


6 CONSEILS pour être sûr d'acheter la bonne paire de chaussures

(Article de e-santé)
LES CHAUSSURES QU'IL VOUS FAUT : sachez éviter les erreurs !

1) Prenez la bonne pointure.

2) Adoptez des talons de 3,5 à 4 cm

3) Soyez attentif à tout frottement
4) Malgré tout, votre pied doit être parfaitement maintenu. S'il flotte dans la... chaussure, vous risquez des micro-tendinites. Choisissez un cuir de bonne épaisseur au détriment du caoutchouc et du plastique.
5) Concernant les chaussures de sport, choisissez-les adaptées à votre sport et à la morphologie de votre pied. Vous devez donc vous équiper dans un magasin spécialisé. Outre le fait de prendre une pointure au-dessus, privilégiez les chaussures légères. Changez-les souvent, avant qu'elles ne remplissent plus leur rôle d'amortisseur. Soyez particulièrement vigilant si vous faites du jogging. La qualité d'amortissement est primordiale : à chaque foulée, le choc est important, ce qui peut rapidement meurtrir vos pieds et votre colonne vertébrale.
6) Enfin, une paire de chaussures, c'est personnel.

Isabelle Eustache
21/12/2009

mardi 11 mai 2010

Chouchoutez vos pieds : changez de chaussures !

ARTICLE DE e-santé
Nos pieds n'en finissent pas de nous porter. A la fin de notre vie, ils nous auront permis de parcourir entre 100.000 et 180.000 km... Autrement dit, il faut les ménager. Or plus de 80% des femmes déclarent avoir des problèmes de pied : callosités, sécheresse, oignons, transpiration, etc. Pourquoi et comment y remédier ?
Transpiration excessive : quelles sont les solutions ?
Contre les mauvaises odeurs : quid des déodorants et antitranspirants ?
L'hyperhidrose ou quand la transpiration s'emballe...Recette de la Pizza aux oignons et au gorgonzola
Recette de tomates et oignons farcis
Oignons rôtis à la menthe

Nos pieds sont mis à rude épreuve
Trop serrés dans des escarpins ou dans tout autre type de chaussures à la pointe effilée, nos pieds subissent des frictions, ce qui abîme les couches supérieures de la peau et accélère le renouvellement des cellules. Quant aux frottements, ils sont à l'origine de callosités ou cors, résultat d'une accumulation de cellules mortes.
On comprend bien que si nos pieds ne sont pas à l'aise dans leurs chaussures, ils réagissent et produisent notamment un épaississement des couches de cellules sous la plante des pieds, mais aussi sur le bord extérieur du gros orteil ou du talon.
La prévention passe par le port de chaussures adaptées à la morphologie du pied. C'est ainsi que les talons hauts à pointe effilée sont les premiers types de chaussures à écarter...


http://www.e-sante.fr/pieds-jambes-chouchoutez-pieds-changez-chaussures-NN_13373-126-10.htm

samedi 8 mai 2010

Un amortisseur tombé du ciel dans des chaussures

Des chaussures bien amorties.
Une technologie issue des satellites débarque dans la semelle des chaussures de ville !

Descendue du ciel jusque dans les talons, une technologie innovante d’amortissement, développée initialement à l’usage des satellites, a récemment atterri dans des chaussures.

Mise au point conjointement par une école d’ingénieurs, l’Ismans et une société d’ingénierie spécialisée dans le domaine de l’atténuation vibratoire des structures, cette technologie s'appelle SPDF (Smart Passive Damping & Filtering). Contrairement aux autres techniques visant à limiter les vibrations, elle ne fait appel, ni à une augmentation de la masse visant à diminuer la fréquence de résonnance, ni à l’usage de raidisseurs pour augmenter cette fréquence.

Sa botte secrète ? L’intégration dans la structure d’un dispositif léger dissipateur d’énergie, qui présente en outre l’avantage d'augmenter la stabilité. Utilisée dans des satellites, mais aussi des navires, des sous-marins, des sous-ensembles automobile, des véhicules blindés ou même le très grand téléscope du Chili, elle débarque donc dans des chaussures de ville, commercialisées sous la marque CAP-K .

mercredi 5 mai 2010

Article de presse; L'Essentiel de la Chaussure - nov. 2009


Innovation dans les systèmes d’amortissement.
Marc Capdepuy, responsable de CAP-K Technologies et Alain Le Méhauté, directeur de l’ISMAMS, une école d’ingénieur située au Mans, déposent un brevet qui révolutionne les systèmes d’amortissements. Cette technologie est appelée SPDF (Smart Passive Damping & Filtering). Cette innovation a été développée initialement pour les satellites mais aussi dans le ferroviaire et l' aéronautique, le naval, ... Utilisée pour amortir les vibrations, elle fait aujourd’hui l’objet d’une application dans la chaussure.
Cette technologie high tech permet de réduire radicalement les vibrations d’un objet sans l’alourdir. Jusqu’alors, les solutions utilisées pour réduire ces vibrations consistaient à ajouter soit de la masse pour diminuer la fréquence de résonance, soit des raidisseurs pour l’augmenter. Dans les deux cas, le problème de résonance subsiste. A l’inverse, le principe de la technologie SPDF augmente l’amortissement naturel d’une structure par l’ajout sur celle-ci d’un dispositif léger et dissipateur d’énergie qui ne modifie pas les caractéristiques mécaniques de la structure traitée et permet même d’augmenter la rigidité. Les résultats obtenus avec SPDF sont meilleurs, car le concept permet une atténuation très importante des niveaux vibro-acoustiques sur une large bande de fréquences, tout en permettant éventuellement de gagner sur la masse de la structure traitée. Dès lors rien d’étonnant à ce que cette technologie ait intéressé de nombreux industriels dans des secteurs très différents : satellites, navires à grande vitesse, sous-ensembles automobiles, le Très Grand Télescope du Chili, mais aussi en matière de défense pour les chars, les sous marins, etc.
Aujourd’hui placée directement dans le talon des chaussures, cette technologie de pointe permet d’amortir les chocs qui affectent la colonne vertébrale, mais aussi de filtrer les vibrations pour le bien-être musculaire tout en disposant de chaussures rigides qui protègent le dos en situation statique.
La gamme de chaussures de ville cuir homme CAP-K intégrant la technologie SPDF a été développée avec l’aide de médecins et de kinésithérapeutes. Les modèles homme Seb et Vince sont proposés en plusieurs coloris et finitions pour un prix de vente conseillé de 145 et 190 euros. La gamme femme (modèle Elise à talon - photo) se décline en trois coloris pour un prix de vente conseillé de 175 euros. D’autres modèles seront disponibles prochainement.
En cours de diffusion sur internet (http://www.cap-k.net/), la gamme CAP-K, qui utilise la technologie SPDF, devrait prochainement être promue par un réseau des kinésithérapeutes. Des développements devraient voir le jour dans les prochains mois, notamment pour améliorer les performances des chaussures enfants, randonnée, ...

lundi 3 mai 2010

Des chaussures anti fatigue made in Toulouse


Des chaussures anti fatigue made in Toulouse

S’appuyant sur l’exemple de Geox, CAP-K met de la technologie dans ses chaussures. En l’occurrence, celle déjà utilisé dans l’aéronautique pour lutter contre les problèmes vibro-acoustiques. La société toulousaine CAP-K se lance dans la fabrication et la vente de chaussures anti mal de dos et anti-fatigue. Une nouveauté qui s’appuie sur une technologie déjà éprouvée dans les domaines du spatial et de l’aéronautique.
Son président, explique : « Cette technologie permet de limiter les vibrations qui, à forte intensité comme au décollage des fusées, peuvent endommager les satellites », explique-t-il. « Pour les chaussures, le système est similaire : il s’agit de dissiper les chocs et autres vibrations lors de la marche. En clair, il faut avoir des semelles qui soient rigides tout en offrant un bon amorti. »

La mise au point de ses chaussures « amorties » a nécessité deux années de Recherche et de Développement, en partenariat avec d’autres entreprises, comme la société HPK, et le soutien de l’agence Midi-Pyrénées Innovation.
La gamme de chaussures de ville, soit une quinzaine de références pour femme et homme, a été lancée il y a quelques semaines.

CAP-K propose des produits propres directement auprès du grand public.
Le déploiement commercial des chaussures toulousaines, soutenu par le champion Luc Alphand qui apporte son image, passe par des revendeurs spécialisés. Plusieurs ouvertures sont en cours.
Sur la photo : Marc Capdepuy, président de CAP-K Technologies.

dimanche 2 mai 2010

Article de presse SCIENCE & VIE


Article de SCIENCE & VIE (janvier 2010);
LA CHAUSSURE QUI AMORTIT LES CHOCS
Du satellite à la chaussure, il n'y a qu'un pas ...
La preuve: deux ingénieurs français Alain Le Méhauté et Marc Capdepuy qui ont travaillé sur des systèmes d'amortissement dans l'industrie de pointe (trains, satellites, fusées) viennent d'appliquer leur technologie à la chaussure. Le résultat, c'est cette paire de chaussures conçue par l'entreprise CAP-K qui cache, à l'intérieur du talon, un dispositif inédit: un élément en matériau composite qui amortit les chocs et réduit les vibrations engendrées par l'impact du pied. La colonne vertébrale et le bien-être musculaire sont ainsi préservés.
S.Bo.

samedi 1 mai 2010

Chaussures de ville amorties pour notre bien-être et confort de marche

Une technologie développée pour atténuer les phénomènes vibratoires des structures dans les domaines comme le spatial, l'aéronautique, l'automobile, ..., est maintenant intégrée dans des chaussures ville afin de répondre à certaines pathologies telles que le mal de dos, les jambes lourdes, les tendinites, ...
Actuellement cette technologie est utilisée dans les chaussures de ville CAP-K (www.cap-k.net) pour hommes et femmes. Elle sera prochainement utilisée par d'autres marques qui recherchent à la fois le confort tout en assurant un bon maintien du pied.
Progressivement, cette technologie sera intégrée dans des chaussures enfants, chaussures de randonnées, ...
Cela permettra de manière préventive de préserver notre organisme des méfais de la marche sur sols durs et des incidences de l'onde de choc qui en se propageant dans l'organisme dégrade nos articulations et notre colonne vertébrale (usure des disques entre les vertèbres, lombalgie, ...).